D'Alte han d'Kapp voll! (E 22f)

Akte:
Dreiakter (125 min)
Kategorie:
Schwank
Buhnebild:
Empfangsraum vum Altersheim
anderi Fàssung:
E 22   E 22a   E 22b   E 22c   E 22d   E 22-D   E 22e   E 22g   
Resume
In Breitmittelhüse isch de Deifel loos.!... In de letschte Zitt sin üewermaassig viel Litt g’storwe im Altersheim «Les Tilleuls»... Dezüe fange d’Pensionnär vun dem Altersheim e Hungerstreik an, denn s’Esse wie Ihne de Traiteur liffert word als schlechter!... D’Stoffirma Faadespanner soll verkauft waare un d’Arweiter trette in de Streik... Soll’s do e Zammehang gann gibt’s numme noch eins: de Kidnapping vum alte PDG Faadespanner!
Persone
Herre:
5
Dame:
5
Persone:
0
Büewe:
0
Maide:
0
Kinder:
0
Stimme:
0
clip
       
Bilder
photo DNA Theatre Alsacien de Eschau   Photo DNA Section Théâtrale Cercle Sportif Martinia de Eschbach   Photo DNA d’Welser Bünehüpser de Wilwisheim   Photo DNA Théâtre Alsacien de Betschdorf   Photo Le Républicain Lorrain Die lustige Miehlerslitt de Frohmuhl        Théâtre Alsacien de Bouxwiller    Théâtre de Metting   
Zittungsàrtikel
"La salle des fêtes de Metting était quasiment pleine pour le lever de rideau sur la pièce « D’Alte han d’Kapp Voll ! ».
À la fin du spectacle, les spectateurs ont fait une belle ovation aux acteurs pour leurs bons mots et les situations comiques proposées dans cette pièce en trois actes de Bernard Eibel qui plonge le public dans l’univers d’une maison de retraite.
Les résidents de l’« Altersheim les Tilleuls » n’ont pas toujours la vie facile. Surtout ces derniers temps où le nombre de décès augmente et les repas sont de plus en plus indigestes. La direction et le traiteur sont-ils de mèche pour rouler les vieilles gens ? Ces derniers ne veulent pas s’en laisser conter et entreprennent une grève de la faim. L’ancien directeur de la maison de retraite Grégoire Fààdespànner, interprété magistralement par Claude Froelicher en grande forme, fait partie des pensionnaires. La grève de la faim ne suffisant plus, les résidents décident d’aller plus loin dans l’action…
Le spectateur ne s’ennuie pas, car de l’action, il y en a tout au long de cette pièce. Les pensionnaires des Tilleuls étaient assurément en grande forme pour cette première."
DNA - (16/01/2020)

"Die Jugendtruppe soll das Publikum in tolle Stimmung bringen vor dem Hauptspiel "D'Alte han d'Kapp voll".
Dieses Lustspiel von dem Els ässer Bernard Eibel setzt Pensionäre eines Altenheims in Szene, deren Direktion alles als wohlwollend und hilfsbereit ist.
Aber Achtung, die Alten sind noch nicht senil! Sie kapieren, was sich da abspielt, rebellieren, demonstrieren und jubilieren. Die Komödianten toben sich aus und das Publikum kommt zum Jauchzen!
Spielplan : Sonntag, 6. und 20. Januar 14Uhr45; Samstag, 12., und 19. Januar 19Uhr45; Samstag, 2., 16 und 23. Februar 19Uhr45; Sonntag, 3. und 24. Februar 14Uhr45; Sonntag 3. März 14Uhr45

Ort : Espace Vitrac Saint Vincent in Siersthal"
Saar Zeitung - (20/12/2018)

"L’histoire se passe à Breitmittelhüse, dans la maison de retraite «Les Tilleuls». Valérie Gross, la directrice (Pascale Gabel), espère mener son affaire de telle sorte que des bénéfices et des rentrées d’argent s’accumulent pour pouvoir acheter un terrain voisin appartenant à une usine afin de développer son activité. Si son institution pouvait être bénéficiaire de l’héritage de certains des pensionnaires, cela arrangerait bien ses affaires. Elle n’a pas de scrupules pour arriver à ses fins.
Pierrot Blattmayer le traiteur (Jean Luc Reutenauer), le docteur (Eliane Gastebois) et sa secrétaire (Lena Decker) ainsi que le professeur de sport (Claude Lambert) rentrent dans la logique de la directrice. Ce dernier fournit des séances de remise en forme exténuantes aux pensionnaires de la maison de retraite au point qu’il met finalement leur santé en danger. Ces derniers ne tardent pas à déceler les intentions de l’institut qui les accueille.
Un ancien colonel (Didier Gastebois), un ex-facteur (Daniel Ott), un représentant (Patrick Kurtz), la veuve d’un boucher (Nicole Geschwind), la veuve d’un médecin (Anne Gerber), l’ancien directeur de l’usine voisine (Martin Jund) et sa fille (Marie Geyer), tout comme une syndicaliste (Martine Reichert) vont se mettre d’accord pour tenir tête à la directrice. La grève de la faim, parce que les repas livrés par le traiteur sont de moins en moins bons, est suivie du projet de « kidnapping » de l’ancien PDG de l’usine de textile. Tous les moyens sont mis en œuvre pour tenir tête à la direction de la maison de retraite, les « vieux » ayant plus d’un tour dans leur sac pour déjouer le complot.
La comédie avance rapidement, les situations amusantes, voire hilarantes, se succèdent à un rythme effréné... "
DNA - (11/11/2018)

"Valérie Gross, directrice de la maison de retraite les Tilleuls, espère mener son affaire de telle sorte que des bénéfices et des rentrées d’argent s’accumulent. Elle a pour projet de développer son activité en rachetant un terrain voisin appartenant à une usine. Elle n’a d’ailleurs pas de scrupules pour arriver à ses objectifs. Si son institution pouvait être bénéficiaire de l’héritage de certains des pensionnaires, cela l’arrangerait bien. Pour elle la fin justifie les moyens.
Pierrot Blattmayer, le traiteur, rentre dans la logique de la directrice. L’infirmier et professeur de sport de l’équipe (Patrice Heinrich) d’ailleurs aussi. Il leur fournit des séances de remise en forme à tel point exténuantes qu’il met finalement la santé des pensionnaires en danger.
Les pensionnaires n’ont pas tardé à y voir clair sur les intentions de la maison qui les accueille. Un ancien colonel, un ex facteur, un représentant, la veuve d’un boucher se promenant avec ses grands couteaux autour de la ceinture, la veuve d’un médecin, l’ancien directeur de l’usine voisine et sa fille tout comme une syndicaliste vont se mettre d’accord pour tenir tête à l’institution. Grève de la fin, ou simulation d’enlèvement, que va-t-il leur passer par la tête pour faire de la résistance ?
La comédie avance rapidement, les situations amusantes se succèdent. Quand des personnes âgées, avec leurs courbatures tiennent à se cacher dans un petit placard pour faire de la résistance, la scène devient vraiment hilarante."
DNA - (19/01/2017)

"Il s'agit d'une comédie en trois actes de Bernard Eibel, D'Alte han d'Kapp voll (« les vieux en ont ras la casquette »).
L'intrigue se déroule à la maison de retraite « Les Tilleuls » dont les débuts sont chaotiques : le personnel fait tourner l'établissement avec des combines bizarres : un traiteur remplace un cuisinier, et livre des repas frugaux et sans saveur ; le masseur fait faire des séances de sport exténuantes et excessives. Les pensionnaires tiendront-ils à ce rythme ?
Les acteurs sont fin prêts, et le spectacle s'annonce comme un véritable temps de détente : en général, avec les comédies de Bernard Eibel, le public se tord de rire d'un bout à l'autre des trois actes."
DNA - (14/01/2017)

"D'un bout à l'autre de la pièce les spectateurs se tordent de rire et des salves d'applaudissement crépitent tout au long des trois actes de cette comédie...
Gag, quiproquo, gestuelle, comique de mot, de situation et de réplique, forment une agréable trame pour cette comédie admirablement maîtrisée par ces dix acteurs..."
DNA - (28/01/2013)

"Les débuts s'annoncent chaotiques dans une trame complexe, avec des situations inextricables et des combines louches du personnel de l'établissement. Tout va mal dans cette structure sociale des Tilleuls : le cuisinier renvoyé est remplacé par un traiteur qui livre de maigres repas sans saveur, l'infirmier masseur fait subir des séances de sport exténuantes. Que trame la direction ? Heureusement que les «vieux» ont plus d'un tour dans leur sac pour déjouer le complot. "
DNA - (17/01/2011)

"...Bernard Eibel met en scène une maison de retraite avec l'ensemble des acteurs qui occupent habituellement les lieux. Directrice, médecin, animateur et bien-entendu les seniors. Un établissement très spécial, il faut bien le dire. On y soigne les retraités d'une façon un peu particulière.On en veut surtout aux bourses bien remplies de ces personnes fortunées. Il faut faire en sorte qu'elles disparaissent le plus rapidement possible. C'est donc à coups de facéties, jeux de mots et de comique de situations que les comédiens provoquent fous rires et amusements. On baigne dans le dialecte alsacien avec délice..."
DNA - (02/02/2010)