Die bringen wir nicht mehr hinaus! (E 17)

Akte:
Dreiakter (125 min)
Kategorie:
Luschtspiel
Bühnenbild:
Büürestubb
andere mögliche Darstellung:
E 17a   E 17b   E 17c   
Inhalt
Wie oft sagt man: "Kommen Sie doch mal vorbei!", meistens ohne Folgen. Diesmal hat der Bankdirektor Honoré von Taubenschlag sein Freund Josef Schlepper beim Wort genommen. Der ist Automekaniker in der Stadt, wohnt aber bei seinen Eltern auf dem Land. Honoré kommt mit seiner frau und seine Eltern füer einige Tage. Aber aus den drei Tage sind es zwei Wochen geworden und die wollen immer noch nit nach Hause fahren!...
Personen
Herren:
5
Damen:
5
Besetzung:
0
Junge:
0
Madchen:
0
Kinder:
0
Stimmen:
0
clip
       
Bilder
photo DNA Troupe Théâtrale Chorale St Georges de Zimmerbach   Photo DNA Théâtre Alsacien de Betschdorf   Photo DNA Théâtre Alsacien de Betschdorf   Photo DNA Théâtre Alsacien de Betschdorf   Photo L'Alsace Théâtre Alsacien de Zimmerbach    Théâtre Alsacien de Hatten    Théâtre Alsacien de Hatten    Théâtre Alsacien Hatten    Théâtre Alsacien Hatten    Théâtre Alsacien Hatten    Théâtre Alsacien Hatten    Théâtre Alsacien Hatten    Théâtre Alsacien Hatten    Théâtre Alsacien Hatten   
Pressestimmen
"Qui n’a jamais interpellé un ami en lui lançant : « Kummsch emool durich ! » sans grande conséquence ou réussite ? Sauf que dans la pièce de Bernard Eibel, un noble directeur de banque prend son ami garagiste au mot et débarque à l’improviste, avec épouse et parents, dans la ferme de son mécanicien pour deux jours qui se transformeront vite en deux semaines.
Changement d’air pour les uns, bouleversement indésirable pour les autres, cette cohabitation forcée amène logiquement scènes de ménages, mésententes et autres quiproquos usuels. Une petite taupe, des ondes négatives, un air campagnard réussiront-ils à aider la famille accueillante à faire déguerpir les visiteurs indésirables, ou à convaincre ces derniers qu’il est temps de refaire les valises ?"
DNA - (15/02/2018)

"Combien de fois n'a-t-on pas dit ou entendu : « Viens passer quelques jours chez moi ! » Mais très souvent, les personnes ne donnent pas suite à l'invitation. Mais voilà que cette fois-ci, cela se concrétise lorsque le fils du fermier, garagiste dans la commune, invite son ami, directeur d'une banque en ville, à passer quelques jours de vacances à la campagne, au bon air. Celui-ci viendra accompagné de sa femme et de ses parents.

Cette intrusion dans le quotidien des fermiers a provoqué des éclats de rire et des tonnerres d'applaudissements du public, venu nombreux pour ce premier week-end de fou rire."
DNA - (28/10/2015)

"La visite de courtoisie a alors duré plus longtemps que prévu. Cette intrusion dans le quotidien des fermiers a provoqué maintes tensions et situations cocasses, au point que le conseil de famille a dû faire preuve d’imagination et user de subterfuges, pas toujours habiles, pour les déloger au bout de quinze jours."
DNA - (25/03/2012)

"...Cette comédie met habillement en avant les effets de langage du dialecte : jeux de mots et situations cocasses offrent aux spectateurs un bon moment de rire..."
DNA - (02/02/2012)

"A combien de reprises dit-on à des amis «viens passer quelques jours chez moi!» mais très souvent, les personnes ne donnent pas suite à l'invitation. Mais voilà que cette fois-ci, cela ce concrétise lorsque le fils du fermier, garagiste dans la commune, invite son ami, directeur d'une banque en ville, à passer quelques jours de vacances à la campagne, au bon air. ...Le public qui ira de surprise en surprise, ne sera pas déçu..."
DNA - (09/01/2010)

"... L'outrecuidance des uns face à la spontanéité du biotype des autres forme une confrontation en scènes du quotidien... Des quiproquos de situations, des retrouvailles insolites, des intérêts et attitudes d'allégeance pour un prêt... Mais comment se débarrasser de ces hôtes quelque peu intrus et pourtant à ménager?..."
L'Alsace - (16/01/2006)